Parc zoologique & botanique de Mulhouse

Mulhouse Alsace Agglomération

Conservation & programmes de recherche

Le Parc zoologique et botanique est membre de plusieurs institutions zoologiques :

Dirige vers le site AFDPZ (Association Française des Parcs Zoologiques) en ouvrant un nouvel onglet Dirige vers le site EAZA (Association européenne des zoos et aquariums) en ouvrant un nouvel onglet Dirige vers le site WAZA (world association of zoos and aquariums) en ouvrant un nouvel onglet

Les programmes de conservation

Chaque année, le Parc s’investit concrètement dans la préservation de la nature et apporte une expertise vétérinaire et zootechnique ainsi qu’une aide financière. On appelle cela la « conservation in-situ ».

35 000 € par an sont reversés à différents programmes de conservation in-situ. De nombreuses avancées ont déjà eu lieu. On peut par exemple citer la création de réserves naturelles protégées pour les lémuriens (Madagascar), pour les addax (Maroc), pour le cerf du prince Alfred (Philippines) et pour le lion d’Asie (Inde). Une zone humide a été réhabilitée pour la réintroduction de la cistude en Alsace (France). Un centre de refuge a été construit pour les capucins à poitrine jaune (Brésil) et des patrouilles ont été formées pour la protection des zèbres de Grévy (Kenya). De nombreux animaux capturés par des braconniers ont pu être sauvés, soignés puis relâchés. De fortes avancées scientifiques ont permis de mieux connaître la faune sauvage et les dangers qui la menacent.

Les programmes de conservation

Les partenariats internationaux

Le Parc zoologique et botanique de Mulhouse soutient de nombreuses organisations non gouvernementales (ONG) et autres organismes. Pour en savoir plus sur ces partenaires, cliquez sur leur nom :

D’autres possibilités de partenariat sont continuellement à l’étude.

Les partenariats internationaux

La recherche scientifique

« Mieux connaître pour mieux protéger » dit l’adage. Il est en effet primordial de connaître les espèces que l’on veut préserver afin d’agir efficacement. Chaque espèce est différente, a des besoins et des modes de vie uniques. L’identification de ces besoins et des causes de déclin de l’espèce sont un pré-requis indispensable. C’est pourquoi le Parc zoologique et botanique de Mulhouse soutient la recherche scientifique, activement ou financièrement.

Par exemple, les lémuriens aux yeux turquoise, les gibbons à favoris, les lynx ou encore les capucins à poitrine jaune de Mulhouse ont été choisis pour effectuer différentes études scientifiques françaises et étrangères. Les analyses biologiques réalisées sur les animaux du Parc fournissent une base de données indispensable aux études génétiques et physiologiques des chercheurs.

Chaque année, des scientifiques effectuent leurs observations à Mulhouse avant de les compléter dans la nature. Et inversement : les recherches dans la nature aident à un meilleur élevage au sein du zoo.

La recherche scientifique

Nos actions à Madagascar

Le Parc zoologique et botanique de Mulhouse a un lien extrêmement fort avec Madagascar. Ce lien a débuté dans les années 80 quand le Parc s’est associé avec 4 autres structures pour former l’Association Européenne pour l’Etude et la Conservation des lémuriens (AEECL). Depuis toutes ces années, il a contribué à la préservation de ces animaux fascinants et de leurs milieux naturels. Les collaborations entre Mulhouse et Madagascar se sont étoffées depuis, grâce à d’autres organismes :

Si vous êtes enseignant, sachez que vous pouvez faire participer votre classe à un projet pédagogique et un programme d’échange épistolaire avec une classe de Madagascar. Une malle pédagogique a été créée spécialement par le Parc zoologique et botanique de Mulhouse. Plus de renseignements dans l’espace enseignant.

Nos actions à Madagascar

Les réintroductions

Bien que très médiatiques, les cas de réintroductions réussies sont rares car, le plus souvent, le milieu naturel des espèces menacées est dégradé. Tant que les conditions dans la nature ne se prêtent pas à des relâcher, les animaux des parcs zoologiques donnent l’occasion de sensibiliser le public citadin. Ils sont les ambassadeurs de leurs congénères sauvages et permettent de récolter des fonds investis dans les programmes de conservation. Ces derniers visent à garantir les conditions de survie de l’espèce et le bon équilibre des écosystèmes.

Ce n’est qu’une fois ce travail fait qu’une réintroduction devient envisageable. Les animaux sont choisis selon leur comportement sauvage et autonome. Pour certaines espèces, les individus visibles dans les enclos ne sont donc pas des bons candidats : ce seront leurs descendants qui, élevés avec une présence humaine moins invasive, pourront rejoindre leur milieu naturel.

Une fois les animaux relâchés, il est important de les suivre. Ceux-ci doivent survivre suffisamment longtemps pour se reproduire et engendrer des descendants qui se reproduiront à leur tour. Les réintroductions visent à restaurer une population sauvage disparue, tandis qu’on parle de renforcement de population lorsque cette population sauvage existe toujours mais a besoin de nouveaux individus pour être viable.

Le Parc zoologique et botanique de Mulhouse participe ou a participé aux réintroductions et renforcements de population de :

 

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